Mercredi 16 janvier, un groupe de lycéen assistait à l’atelier « Les bactéries au service de l’homme » à l’Ecole de l’ADN.

Le but de cet atelier est de conférer une nouvelle fonction à des bactéries E. coli. Un vecteur (dans le cas présent, un plasmide) qui porte un gène de résistance à un antibiotique (l’ampicilline) est inséré, grâce à un choc thermique, dans la bactérie, à l’origine non résistante à cet antibiotique. La culture sur milieux contenant ou non de l’ampicilline permet de sélectionner les bactéries transformées, qui sont considérées comme des Organismes Génétiquement Modifiés (NB : tous les produits issus de cet atelier sont détruits comme il se doit). Cet atelier permet d’illustrer la relation entre phénotype et génotype. Cet atelier était enseigné en anglais pour préparer ces élèves de section STL à leur oral de fin d’année.

Si vous souhaitez plus d’information sur les ateliers proposés par l’Ecole de l’ADN, rendez-vous par ici.